Il est dit que l'originalité n'existe pas, que toute oeuvre est une copie d'une autre, que ce soit conscient ou pas. Ce texte de Kenneth Goldsmith aborde la question du plagiat et de la copie à l'ère de l'Internet, mais également dans le passé. Est-ce vraiment plus facile aujourd'hui de copier un texte? Devrait-on s'en offusquer autant? Ce qui est certain, c'est que le sujet est loin d'être clos.
Comme vous le savez sûrement, certaines couleurs sont la propriété exclusive de personnes ou de compagnies. Serait-ce envisageable de déposer une demande de brevet pour tout ce qui touche la culture orale? De s'approprier des savoirs ancestraux qui sont transmis de génération en génération? Dans un monde où tout s'achète, pourquoi pas? Plus...
Le gouvernement du Canada, maintenant qu'il est majoritaire, a ressortir des tiroirs sa loi sur le copyright. Il y a plusieurs textes à ce sujet. L'un d'eux, sur BoingBoing, traite des DRM et indique qu'avec la loi, il serait interdit d'enlever ces cadenas, même si le but est légal. On peut même dire qu'il serait interdit d'enlever les DRM sur un travail dont nous sommes propriétaires.
Dans un autre texte, l’Union des écrivaines et des écrivains québécois (UNEQ) est également contre ce texte de loi, car "l’ajout de l’éducation aux motifs de l’“utilisation équitable” et les nouvelles exceptions à la Loi au bénéfice des bibliothèques, des institutions d’enseignement et des consommateurs en général sans compensation pour les créateurs constituent une expropriation du droit de propriété intellectuelle, et donc une sorte de vol légalisé qui n’en devient pas pour autant légitime." Bref, personne n'est content sauf les industries.
Un autre débat chaud : HathiTrust et sa campagne de numérisation de documents théoriquement orphelins. The Authors Guild, ainsi que des regroupements d'auteurs canadiens et australiens ont déposé une plainte contre ce projet, alléguant que certains auteurs d'oeuvres étaient encore vivants! Pour l'instant, le projet se poursuit.
Article du Library Journal à ce sujet et un texte de l'UNEQ
Sur le même sujet, L'Express annonce que Gallimard, Albin Michel et Flammarion ont suspendu leur guerre contre Google qui numérisait leurs oeuvres sans leur consentement. Ils tenteront de s'entendre en dehors des cours.
Pour terminer, une nouvelle trouvée sur Wired qui résume une saga de violation de copyright. Joel Tenenbaum a été retrouvé coupable d'avoir téléchargé et partagé 30 morceaux musicaux par le biais de Kazaa et condamné à payer 150 000$ par morceau. Une fois porté en appel, la sentence avait été réduite à 2 500$/morceau, mais finalement la première peine a été réinstaurée.
mercredi 19 octobre 2011
lundi 17 octobre 2011
Lecture
Selon deux chercheurs de UC San Diego, connaître un spoiler n'enlève pas la joie de lire un livre ou d'écouter un film. En fait, ce pourrait même rendre l'expérience meilleure! Pour ou contre? Plus...
Un charmant texte qui fait la promotion de la découverte de la lecture. L'auteur est en faveur de laisser les enfants lire ce qui les attire (dans la limite du raisonnable, on s'entend) même si ce n'est que la couverture qui leur plait. C'est dans ces moments-là qu'on fait des découvertes intéressantes! Personnellement, j'ai lu de nombreux livres seulement à cause de leur couverture...
Un site intéressant qui relie des questions à des livres. Par exemple quel livre traite de comment être heureux, de si Dieu existe, etc..
Un texte d'opinion en faveur de la lecture, de la redécouverte de textes qui ne sont pas nécessairement nouveaux, du plaisir de se balader dans une bibliothèque, un des rares endroits qui propose encore du divertissement gratuitement.
Un charmant texte qui fait la promotion de la découverte de la lecture. L'auteur est en faveur de laisser les enfants lire ce qui les attire (dans la limite du raisonnable, on s'entend) même si ce n'est que la couverture qui leur plait. C'est dans ces moments-là qu'on fait des découvertes intéressantes! Personnellement, j'ai lu de nombreux livres seulement à cause de leur couverture...
Un site intéressant qui relie des questions à des livres. Par exemple quel livre traite de comment être heureux, de si Dieu existe, etc..
Un texte d'opinion en faveur de la lecture, de la redécouverte de textes qui ne sont pas nécessairement nouveaux, du plaisir de se balader dans une bibliothèque, un des rares endroits qui propose encore du divertissement gratuitement.
mardi 11 octobre 2011
Internet
Le Nominet Trust est une organisation anglaise qui vise à contribuer au développement d'un Internet sécuritaire et accessible, utilisé pour améliorer la vie des gens et des communautés. Ils ont publié un rapport intitulé “The Impact of Digital Technologies on Human Wellbeing” où il est entre autres question de la possible dépendance que peut causer l'Internet et de la modification du cerveau humain depuis l'apparition du Web, deux sujets chauds et controversés qui font peur, mais qui sont plutôt difficiles à prouver.
Deux articles du journal Le Monde ont également retenu mon intention. Le premier traite des organismes qui contrôlent l'Internet, au niveau mondial et régional. Il n'y a pas d'organisation super puissante qui a la main mise sur Internet, mais ce n'est pas non plus une jungle où tout est possible.
Le deuxième aborde la création d'un logiciel "permettant la création de réseaux sans fil à haut débit 100 % autonomes, qui fonctionneront sur les fréquences Wi-Fi, sans s'appuyer sur aucune infrastructure existante – ni relais téléphonique, ni câble, ni satellite. Ils seront mouvants, horizontaux, entièrement décentralisés et échapperont à toute surveillance, car le trafic sera anonyme et crypté." Y aurait-il finalement une compétition aux grosses compagnies qui tiennent les usagers captifs?
Deux articles du journal Le Monde ont également retenu mon intention. Le premier traite des organismes qui contrôlent l'Internet, au niveau mondial et régional. Il n'y a pas d'organisation super puissante qui a la main mise sur Internet, mais ce n'est pas non plus une jungle où tout est possible.
Le deuxième aborde la création d'un logiciel "permettant la création de réseaux sans fil à haut débit 100 % autonomes, qui fonctionneront sur les fréquences Wi-Fi, sans s'appuyer sur aucune infrastructure existante – ni relais téléphonique, ni câble, ni satellite. Ils seront mouvants, horizontaux, entièrement décentralisés et échapperont à toute surveillance, car le trafic sera anonyme et crypté." Y aurait-il finalement une compétition aux grosses compagnies qui tiennent les usagers captifs?
mercredi 5 octobre 2011
Comment choisir un livre?
Pour ceux qui voudraient des critiques de livres écrites par des blogeurs, voici Books Blogs Search Engine. De ce que j'ai entendu, ça donne des résultats de vraies personnes qui aiment lire. De là à savoir ce que valent leurs opinions, ça doit dépendre du blogeur...
Voici aussi deux sites qui suggèrent des livres en se basant sur le goût du lecteur. Avec BookLamp, divers critères sont attribués aux livres alors en indiquant qu'on veut un livre "du style de ...", le site nous suggère des livres qui ont le même profil. Une des choses désagréables de ce site, c'est d'avoir dans les résultats les autres livres de l'auteur cherché. Pas très utile pour découvrir d'autres auteurs...
Un autre site de suggestions : GoodReads. C'est possible de se monter un profil et de recevoir des suggestions ou bien tout simplement de se promener à travers les différentes catégories de romans. Intéressant.
Voici aussi deux sites qui suggèrent des livres en se basant sur le goût du lecteur. Avec BookLamp, divers critères sont attribués aux livres alors en indiquant qu'on veut un livre "du style de ...", le site nous suggère des livres qui ont le même profil. Une des choses désagréables de ce site, c'est d'avoir dans les résultats les autres livres de l'auteur cherché. Pas très utile pour découvrir d'autres auteurs...
Un autre site de suggestions : GoodReads. C'est possible de se monter un profil et de recevoir des suggestions ou bien tout simplement de se promener à travers les différentes catégories de romans. Intéressant.
lundi 3 octobre 2011
Wikipédia
Le nombre de contributeurs à Wikipedia est en baisse. Pour pallier à cette chute, les responsables de l'encyclopédie en ligne ont décidé de simplifier le processus d'édition. Ce projet, bien que certains le pensent, n'est pas censé avoir de fin. Plus...
Une façon de gagner des éditeurs serait également d'élargir la définition du savoir. Actuellement, les articles de Wikipedia doivent citer des sources, mais lorsqu'il s'agit d'un domaine qui ne touche qu'à l'oral, les règles ne peuvent pas être aussi rigides. Le New York Times a un article très intéressant à ce sujet.
Une autre facette à ne pas négliger de Wikipedia concerne les biais qui y sont inclus, malgré les règles et la bonne volonté des auteurs. Même en n'exprimant pas directement d'opinion et en citant des auteurs, il est possible d'écrire un texte qui peut induire en erreur celui qui le lit. De nombreux livres qui se veulent sérieux se servent de cette technique. Ce n'est pas nécessairement malveillant, mais il faut toujours se méfier des écrits, quels qu'ils soient. Plus...
Une étude a d'ailleurs démontré que seulement 16 % des nouveaux contributeurs sont des femmes et celles-ci ne font que 9% des changements. Ceci pourrait expliquer un certain manque dans les sujets qui intéressent et concerne plus spécifiquement les femmes. Une encyclopédie majoritairement masculine risque bien entendu d'être biaisée.
Une façon de gagner des éditeurs serait également d'élargir la définition du savoir. Actuellement, les articles de Wikipedia doivent citer des sources, mais lorsqu'il s'agit d'un domaine qui ne touche qu'à l'oral, les règles ne peuvent pas être aussi rigides. Le New York Times a un article très intéressant à ce sujet.
Une autre facette à ne pas négliger de Wikipedia concerne les biais qui y sont inclus, malgré les règles et la bonne volonté des auteurs. Même en n'exprimant pas directement d'opinion et en citant des auteurs, il est possible d'écrire un texte qui peut induire en erreur celui qui le lit. De nombreux livres qui se veulent sérieux se servent de cette technique. Ce n'est pas nécessairement malveillant, mais il faut toujours se méfier des écrits, quels qu'ils soient. Plus...
Une étude a d'ailleurs démontré que seulement 16 % des nouveaux contributeurs sont des femmes et celles-ci ne font que 9% des changements. Ceci pourrait expliquer un certain manque dans les sujets qui intéressent et concerne plus spécifiquement les femmes. Une encyclopédie majoritairement masculine risque bien entendu d'être biaisée.
jeudi 29 septembre 2011
Le parler d'un bon bibliothécaire
Comme toute profession qui se respecte, celle de bibliothécaire a son propre vocabulaire pour désigner de façon compliquée des choses qui semblent simples. Noëlle Balley a publié dans le Bulletin des Bibliothèquee de France certains de ces mots et expressions qui peuvent sembler ne rien vouloir dire pour les non-initiés. Voici un extrait :
Ce que votre bibliothécaire dit : Cette autorité auteur n’a pas été validée.
Ce que vous croyez qu’il veut dire : Il parle du livre de l’ancien ministre (celui qui a été battu aux élections).
Ce qu’il veut réellement dire : La BnF a décidé que cet auteur n’existait pas.
Ce que votre bibliothécaire dit : Nous préparons la conversion rétrospective du fichier auteur, alors nous sommes un peu obsédés par tous ces dollars.
Ce que vous croyez qu’il veut dire : Ils ont vendu très cher leur fichier à une Église américaine qui rebaptise les morts (en échange, l’Église américaine offre le microfilmage du fichier).
Ce qu’il veut réellement dire : Ils vont informatiser leur vieux fichier sur carton [et bien que ça coûte très cher, les dollars en question n’ont rien à voir avec l’argent].
Ce que votre bibliothécaire dit : Cette autorité auteur n’a pas été validée.
Ce que vous croyez qu’il veut dire : Il parle du livre de l’ancien ministre (celui qui a été battu aux élections).
Ce qu’il veut réellement dire : La BnF a décidé que cet auteur n’existait pas.
Ce que votre bibliothécaire dit : Nous préparons la conversion rétrospective du fichier auteur, alors nous sommes un peu obsédés par tous ces dollars.
Ce que vous croyez qu’il veut dire : Ils ont vendu très cher leur fichier à une Église américaine qui rebaptise les morts (en échange, l’Église américaine offre le microfilmage du fichier).
Ce qu’il veut réellement dire : Ils vont informatiser leur vieux fichier sur carton [et bien que ça coûte très cher, les dollars en question n’ont rien à voir avec l’argent].
mardi 27 septembre 2011
Archives
Nouvel article au sujet de la préservation du patrimoine numérique. Un des points intéressanst est la préservation à priori, ne pas attendre qu'il soit trop tard, mais décider rapidement ce qui vaut la peine d'être sauvé. Il faut être conscient qu'il n'est pas possible de tout conserver, mais si aucun travail n'est fait, alors on risque de tout perdre.
Également, voici un projet (Ancient Lives)participatif qui utilise l'idée du Web 2.0 (il y a de plus en plus de projets du genre qui naissent). La Société d'Exploration de l'Égypte ainsi que le projet Ancient Lives de l'Université Oxford tentent de recruter des archéologues de bureau pour leur faire traduire des papyrus sur lesquels encore personne n'a travaillé. Il s'agit de cliquer sur un signe à l'écran puis de sélectionner ce que l'on pense être l'équivalent grec. Avec les coupures monétaires qui se font sentir partout, ce n'est pas une mauvaise idée de solliciter la collaboration du monde entier pour traduire de vieux documents...
Également, voici un projet (Ancient Lives)participatif qui utilise l'idée du Web 2.0 (il y a de plus en plus de projets du genre qui naissent). La Société d'Exploration de l'Égypte ainsi que le projet Ancient Lives de l'Université Oxford tentent de recruter des archéologues de bureau pour leur faire traduire des papyrus sur lesquels encore personne n'a travaillé. Il s'agit de cliquer sur un signe à l'écran puis de sélectionner ce que l'on pense être l'équivalent grec. Avec les coupures monétaires qui se font sentir partout, ce n'est pas une mauvaise idée de solliciter la collaboration du monde entier pour traduire de vieux documents...
lundi 26 septembre 2011
Éducation
Les gens du milieu des bibliothèques universitaires savent que le prix des abonnements aux revues scientifiques est particulièrement élevé. En Grande-Bretagne, certaines des plus importantes bibliothèques se sont regroupées (Cambridge, Edinburgh, Oxford, la Bibliothèque nationale) et ont décidé de mettre un terme à certains de leurs abonnements à cause de leur coût. Est-ce ce qu'il faut pour réussir à retrouver des prix décents? Plus... Sur le même sujet, un texte du Gardian qui explique à quel point les bibliothèques universitaires sont captives de ces géants qui font payer le savoir à prix fort.
Pour couronner le tout, les manuels scolaires électroniques sont à la trainent et la plupart du temps, il est encore plus avantageux de les acheter neuf ou usagé et les revendre que d'en prendre une copie électronique. Wired a approfondi le sujet.
Par contre, il y a de l'espoir selon ce texte de l'ActuaLitté qui annonce que Chegg propose de plus en plus de manuels scolaires numériques et permet même de les louer et de les revendre.
Une étude a comparé les habitudes de lecture des élèves s'ils lisaient avec une liseuse ou avec un livre papier. En résumé, l'attrait de la nouveauté pour le livre électronique était présent au début, mais le bon vieux livre papier continue de faire des heureux.
Un infographique trouvé sur le blogue de Stephen Abram au sujet de l'utilisation de la technologie par les étudiants.

Un groupe d'université de l'Illinois afait une étude dans leur bibliothèque pour vérifier les capacités de recherche des étudiants. Il en est ressorti des résultats pires que ce à quoi ils s'attendaient comme quoi les étudiants se contentent de recherches de base et de sources qui sont loin d'être les meilleures. Bien entendu, ils sont certains de ne pas avoir besoin d'aide. Qu'est en train de devenir la recherche? Plus...
Livres électroniques
Une idée qui se veut bonne, mais qui est, à mon avis, douteuse : mettre de la musique et des effets sonores dans les livres électroniques. C'est ce que propose la compagnie BookTrack. Dès que le lecteur atteint un endroit clé de la lecture, des sons se font entendre. Il y a beaucoup de raisons qui me font détester cette idée, mais particulièrement celle où un jour, les livres ne seront plus que des films. Il ne sera même plus possible d'imaginer un personnage qui n'est pas décrit si on nous l'impose d'une autre manière. Wired
traite du sujet.
Papercut, une société suédoise et UsTwo, une compagnie anglaise sont également impliqués dans les livres électroniques nouveau genre. Les pages ont été repensées pour inclure image, son et vidéo. Youppi. The Economist a publié un texte sur les changements dans le monde du livre qui ne sont pas nécessairement bons ou mauvais, par exemple le prix des livres électroniques qui sont loin d'être stables, l'autopublication, les bibliothèques d'IKEA... Intéressant.
Amazon a proposé un modèle de prêts de livres électroniques à la Netflix où, en échange d'un montant forfaitaire, l'usager aurait accès à volonté à une liste de titres possédés par Amazon. Je ne comprends vraiment pas le monde... la bibliothèque est là pour ça et gratuitement, pourquoi c'est si compliqué de prêter des livres électroniques sans en faire un monstrueux projet commercial? Plus sur ActuaLitté.
Harris Interactive Survey a procédé à un sondage qui nous indique entre autres que 15% des Américains utilisent une forme de liseuse alors qu'ils étaient seulement 8% il y a un an ; un Américain sur 6 prévoit se prémunir de cette technologie dans les prochains six mois et ceux qui lisent des livres électroniques lisent beaucoup. Plus.../>
Après Lendle et Ebook Fling, voici Lendingbook, un site qui permet de prêter et d'emprunter des livres à des inconnus. Bien entendu, les éditeurs décident s'ils acceptent que leurs titres fassent partie d'un tel échange ou pas et chaque utilisateur qui emprunte doit également prêter pour évider les abus.
Papercut, une société suédoise et UsTwo, une compagnie anglaise sont également impliqués dans les livres électroniques nouveau genre. Les pages ont été repensées pour inclure image, son et vidéo. Youppi. The Economist a publié un texte sur les changements dans le monde du livre qui ne sont pas nécessairement bons ou mauvais, par exemple le prix des livres électroniques qui sont loin d'être stables, l'autopublication, les bibliothèques d'IKEA... Intéressant.
Amazon a proposé un modèle de prêts de livres électroniques à la Netflix où, en échange d'un montant forfaitaire, l'usager aurait accès à volonté à une liste de titres possédés par Amazon. Je ne comprends vraiment pas le monde... la bibliothèque est là pour ça et gratuitement, pourquoi c'est si compliqué de prêter des livres électroniques sans en faire un monstrueux projet commercial? Plus sur ActuaLitté.
Harris Interactive Survey a procédé à un sondage qui nous indique entre autres que 15% des Américains utilisent une forme de liseuse alors qu'ils étaient seulement 8% il y a un an ; un Américain sur 6 prévoit se prémunir de cette technologie dans les prochains six mois et ceux qui lisent des livres électroniques lisent beaucoup. Plus.../>
Après Lendle et Ebook Fling, voici Lendingbook, un site qui permet de prêter et d'emprunter des livres à des inconnus. Bien entendu, les éditeurs décident s'ils acceptent que leurs titres fassent partie d'un tel échange ou pas et chaque utilisateur qui emprunte doit également prêter pour évider les abus.
L'élagage maudit
Une histoire d'élagage en France qui a fait scandale et qui montre bien les deux perceptions de l'élagage selon si on travaille dans les bibliothèques ou pas (je généralise). Du côté bibliothèque, se départir de certains livres (des doubles, des documents endommagés, de vieux documentaires) permet de faire de la place aux nouveaux documents, souvent plus pertinents et plus beaux (ne riez pas, rare sont les gens qui aiment les vieux livres où l'on peut deviner ce qu'a mangé le lecteur précédent). D'un autre côté, pour certaines personnes, les livres sont sacrés et c'est un scandale de les jeter. Certains d'entre vous pensent peut-être : mais pourquoi ne pas les vendre? Parfois, ce n'est tout simplement pas possible, car le seul fait de dire qu'une bibliothèque retire certains livres provoque une montée aux barricades. Sans compter que le temps investi à vendre les livres n'est simplement pas rentable pour la bibliothèque. Voici un second texte au sujet du cas de Carcassonne.
Un second texte qui explique pourquoi l'élagage est souvent fait en secret et pourquoi la destruction de documents est souvent l'option retenue. Un article de NPR reprend le texte et le commente. C'est possible d'argumenter très longtemps au sujet de l'élagage et dans un contexte de plus en plus numérique, l'argumentation ne risque pas de diminuer...
Un second texte qui explique pourquoi l'élagage est souvent fait en secret et pourquoi la destruction de documents est souvent l'option retenue. Un article de NPR reprend le texte et le commente. C'est possible d'argumenter très longtemps au sujet de l'élagage et dans un contexte de plus en plus numérique, l'argumentation ne risque pas de diminuer...
Bibliothèques du monde
Une série de bibliothèques privées appartenant à des célébrités. Celle de William Randolph Heast n'est pas à la portée de tous...

À Cologne, ils ont utilisé un conteneur pour faire une minuscule bibliothèque installée dans un parc. Plus de mille documents sont donc accessibles dans cet espace de moins de 18m2. Plus...
Le Jakarta Globe présente un portrait d'une bibliothécaire à la Bibliothèque nationale de Jakarta qui mène un combat épique contre les invasions d'insectes intéressés à dévorer les livres. Beau défi. Plus...
Aux Pays-Bas, une bibliothèque a été ouverte dans une gare dans la province Nord-Hollande. L'abonnement annuel coûte 40 €, mais il est aussi possible de prendre un titre pour 2,5 €. Je trouve l'idée des bibliothèques de gare beaucoup plus intéressante que les aéroports, car c'est souvent plus facile de rendre les documents après les avoir empruntés! Plus...
Le Calgary Herald a publié un article qui recense les 12 bibliothèque les plus cool du monde dont la Walker Library of the History of Human Imagination à Ridgefield au Connecticut.

Une autre liste des plus merveilleuses bibliothèques du monde, dont fait partie la Biblioteca Sandro Penna à Perugia en Italie.

À Cologne, ils ont utilisé un conteneur pour faire une minuscule bibliothèque installée dans un parc. Plus de mille documents sont donc accessibles dans cet espace de moins de 18m2. Plus...
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Aux Pays-Bas, une bibliothèque a été ouverte dans une gare dans la province Nord-Hollande. L'abonnement annuel coûte 40 €, mais il est aussi possible de prendre un titre pour 2,5 €. Je trouve l'idée des bibliothèques de gare beaucoup plus intéressante que les aéroports, car c'est souvent plus facile de rendre les documents après les avoir empruntés! Plus...
Le Calgary Herald a publié un article qui recense les 12 bibliothèque les plus cool du monde dont la Walker Library of the History of Human Imagination à Ridgefield au Connecticut.

Une autre liste des plus merveilleuses bibliothèques du monde, dont fait partie la Biblioteca Sandro Penna à Perugia en Italie.

Bibliothèques publiques
Petite nouvelle (un peu vieille) sur les prochaines améliorations qui seront apportées aux bibliothèques publiques de Montréal : un meilleur réseau WiFi, des puces RFID (seulement pour les livres, pas pour les fauteuils) et de nouveaux services en ligne. Toujours à Montréal, la Gazette a publié un article sur la Grande Bibliothèque et son impressionnante fréquentation.
À Islington, au nord de Londres, les gens qui veulent s'inscrire à la bibliothèque doivent remplir un formulaire qui leur demande leur orientation sexuelle, s'ils ont des maladies du type SIDA, cancer, diabètes... entre autres! Je les comprends de vouloir éviter les discriminations, mais là! Plus...
Article sur la santé des bibliothèques au Canada alors que la tourmente des bibliothèques publiques de Toronto faisait rage (depuis, le maire a fait machine-arrière). On voit qu'il y a eu, récemment, de nombreux investissements faits dans ce domaine. De l'argent tiré par les fenêtres? Quand on voit que la fréquentation augmente dans les immeubles beaux et rénovés, c'est peut-être qu'ils répondent encore à un besoin. Plus...
Lié à cette même question, en France, deux bibliothèques nationales, la BNF et la BPI envisagent de se restructurer et de faire davantage de place aux gens plutôt qu'aux collections. Est-ce une façon de dire que les bibliothèques sont en train de devenir des salles communautaires? Plus...
À Chicago, les bibliothèques publiques offrent de plus en plus d'activités diversifiées pour les usagers de tous les âges. Par exemple, les enfants peuvent lire à leur chien, envoyer leurs animaux en peluche passer une nuit à la bibliothèque alors que les parents peuvent participer à une dégustation de chocolat ou se rencontrer au bar à martini. Pourquoi pas? Plus...
J'adore ce que fait la bibliothèque de New York...
À Islington, au nord de Londres, les gens qui veulent s'inscrire à la bibliothèque doivent remplir un formulaire qui leur demande leur orientation sexuelle, s'ils ont des maladies du type SIDA, cancer, diabètes... entre autres! Je les comprends de vouloir éviter les discriminations, mais là! Plus...
Article sur la santé des bibliothèques au Canada alors que la tourmente des bibliothèques publiques de Toronto faisait rage (depuis, le maire a fait machine-arrière). On voit qu'il y a eu, récemment, de nombreux investissements faits dans ce domaine. De l'argent tiré par les fenêtres? Quand on voit que la fréquentation augmente dans les immeubles beaux et rénovés, c'est peut-être qu'ils répondent encore à un besoin. Plus...
Lié à cette même question, en France, deux bibliothèques nationales, la BNF et la BPI envisagent de se restructurer et de faire davantage de place aux gens plutôt qu'aux collections. Est-ce une façon de dire que les bibliothèques sont en train de devenir des salles communautaires? Plus...
À Chicago, les bibliothèques publiques offrent de plus en plus d'activités diversifiées pour les usagers de tous les âges. Par exemple, les enfants peuvent lire à leur chien, envoyer leurs animaux en peluche passer une nuit à la bibliothèque alors que les parents peuvent participer à une dégustation de chocolat ou se rencontrer au bar à martini. Pourquoi pas? Plus...
J'adore ce que fait la bibliothèque de New York...
Livres papier
Voici un petit vidéo qui a déjà beaucoup circulé, mais puisque je suis en retard dans mes messages, il n'a pas encore été affiché ici.
http://www.youtube.com/watch?v=Q_uaI28LGJk
Un infographique de MastersinEducation.org trouvé sur le blogue de Stephen Lihthouse qui porte sur les différences entre les lecteurs de livres papier et électronique.

Petit film sur une histoire de livre déprimante.
The Diary of a Disappointed Book from Studiocanoe on Vimeo.
Une opinion optimiste au sujet de la disparition des livres. À savoir que bien que les ventes soient en déclin, elles le sont d'ailleurs au Québec selon une étude publiée par l’Observatoire de la culture et des communications du Québec (OCCQ) de l’Institut de la statistique du Québec, cette baisse n'est pas attribuable qu'à la transition vers les livres électroniques. Les conditions économiques difficiles et la diminution des librairies peut influencer ces nombres. Plus dans un article du Gardian.
Finalement, un article qui pose de bonnes questions : de nos jours, alors que dans le monde les logements sont de plus en plus petits, les bibliothèques électroniques seraient une bonne façon de gagner de l'espace tout en ne sacrifiant pas son amour de la lecture. Plus...
Technologie
Pour les nostalgiques de l'âge de pierre (trouvé sur le blogue Stepen's Lighthouse)

Sur le même blogue se trouve une comparaison des différentes tablettes, ce qui est vraiment intéressant.
Un blogue a recensé dix sites ou programmes qui peuvent aider à créer un petit vidéo sans se compliquer la vie.
J'aime beaucoup : Tom Pappalardo a fait une série de dessins représentant le défi de la BD face à l'apparition des nouvelles technologies. Ça vaut la peine d'aller voir les autres! Ou le texte de Wired à ce sujet.

J'en ai souvent parlé, de nos jours, la mort et le Web sont maintenant liés. Voici un texte de The Economist qui traite de ce sujet. Il aborde entre autres les services professionnels qui proposent d'immortaliser les défunts sur des sites web. Il faut faire attention, car il peut être cruel d'investir dans une entreprise sur le bord de la faillite ou dans une qui fait de la publicité de mauvais goût basée sur des mots-clés (ex. : promouvoir la compagnie Ryanair sur la page d'un défunt appelé Ryan...). Et c'est sans compter la sécurité des sites.
Pour gérer l'intense masse d'information que nous jette à la figure le monde d'aujourd'hui, voici une liste des 5 agrégateurs préférés selon un sondage maison de Lifehacker.

Sur le même blogue se trouve une comparaison des différentes tablettes, ce qui est vraiment intéressant.
Un blogue a recensé dix sites ou programmes qui peuvent aider à créer un petit vidéo sans se compliquer la vie.
J'aime beaucoup : Tom Pappalardo a fait une série de dessins représentant le défi de la BD face à l'apparition des nouvelles technologies. Ça vaut la peine d'aller voir les autres! Ou le texte de Wired à ce sujet.

J'en ai souvent parlé, de nos jours, la mort et le Web sont maintenant liés. Voici un texte de The Economist qui traite de ce sujet. Il aborde entre autres les services professionnels qui proposent d'immortaliser les défunts sur des sites web. Il faut faire attention, car il peut être cruel d'investir dans une entreprise sur le bord de la faillite ou dans une qui fait de la publicité de mauvais goût basée sur des mots-clés (ex. : promouvoir la compagnie Ryanair sur la page d'un défunt appelé Ryan...). Et c'est sans compter la sécurité des sites.
Pour gérer l'intense masse d'information que nous jette à la figure le monde d'aujourd'hui, voici une liste des 5 agrégateurs préférés selon un sondage maison de Lifehacker.
Divers
De Poofytoo, "This is what I think of mail".

Un des blogger que je suis est accroc des infographiques. Voici une liste d'outils simples et gratuits proposés par Design World Vision pour créer des infographiques.
Et finalement de l'art...
The basement stacks de Wary Meyers

La création d'Adam de Michelangelo avec 12 090 cubes rubik par le Cube Works Studio. Plus...

Un petit dernier : de l'art avec des livres de Jennifer Khoshbin


Un des blogger que je suis est accroc des infographiques. Voici une liste d'outils simples et gratuits proposés par Design World Vision pour créer des infographiques.
Et finalement de l'art...
The basement stacks de Wary Meyers

La création d'Adam de Michelangelo avec 12 090 cubes rubik par le Cube Works Studio. Plus...

Un petit dernier : de l'art avec des livres de Jennifer Khoshbin

vendredi 23 septembre 2011
Médias sociaux
La table périodique du web social. Lien.

Pour ceux qui ont un compte LinkedIn, ça vaut la peine d'aller voir les réglages (Settings, Account, Manage Social Advertising). Si vous ne faites pas attention, la compagnie peut utiliser votre image pour faire de la pub sur la page de vos amis. Toujours pertinent à savoir... Plus.

Pour ceux qui ont un compte LinkedIn, ça vaut la peine d'aller voir les réglages (Settings, Account, Manage Social Advertising). Si vous ne faites pas attention, la compagnie peut utiliser votre image pour faire de la pub sur la page de vos amis. Toujours pertinent à savoir... Plus.
lundi 1 août 2011
Écriture
Voici un site qui propose des mots qui manquent au dictionnaire traditionnel. C'est très français. Pour ma part, j'utiliserais bien chronovore et conditionner...
Pour ceux qui ne le connaissent pas, le prix Bulwer-Lytton est décerné, depuis les années 80, aux auteurs qui présentent la pire première phrase d'un roman imaginaire. La gagnante de cette année est Sue Fondrie. Voici sa phrase, traduite par L'Actua Litte.
« L'esprit de Cheryl tournoyait comme les pales d'une turbine éolienne, déchirant ses pensées comme les restes ensanglantés de moineaux tombant sur une pile grandissante de souvenirs enfouis.»
Voici la phrase gagnante dans le genre science-fiction :
« Morgan ‘Bamboo’ Barnes, Star Pilot of the Galaxia (flagship of the Solar Brigade), accepted an hors d’oeuvre from the triangular-shaped platter offered to him from the Princess Qwillia—lavender-skinned she was and busty, with two of her four eyes what Barnes called ‘bedroom eyes’—and marveled at how on her planet, Chlamydia-5, these snacks were called ‘Hi-Dee-Hoes’ but on Earth they were simply called Ritz Crackers with Velveeta.»
Pour une liste de tous les gagnants... http://www.bulwer-lytton.com/2011.htm
Le New York Times a publié une liste de ce que certains auteurs connus mangent ou boivent lorsqu'ils écrivent. Le défi, lorsqu'on mange en écrivant, c'est d'arrêter. De manger, bien sûr...
Un phénomène intéressant est apparu en force avec les livres électroniques. Ce n'est pas qu'il n'existait pas avec les livres papier, mais c'est beaucoup plus facile maintenant de prendre le livre d'un autre, de changer un peu le titre et le contenu puis de le republier sous le nom d'un autre auteur. Un peu comme des cornichons vendus sous une marque maison d'épicerie : le contenu vient du même endroit, mais l'étiquette change. Une bonne façon pour certains de se faire de l'argent, mais une multiplication de livres pas toujours utiles... Plus.
Pour ceux qui ne le connaissent pas, le prix Bulwer-Lytton est décerné, depuis les années 80, aux auteurs qui présentent la pire première phrase d'un roman imaginaire. La gagnante de cette année est Sue Fondrie. Voici sa phrase, traduite par L'Actua Litte.
« L'esprit de Cheryl tournoyait comme les pales d'une turbine éolienne, déchirant ses pensées comme les restes ensanglantés de moineaux tombant sur une pile grandissante de souvenirs enfouis.»
Voici la phrase gagnante dans le genre science-fiction :
« Morgan ‘Bamboo’ Barnes, Star Pilot of the Galaxia (flagship of the Solar Brigade), accepted an hors d’oeuvre from the triangular-shaped platter offered to him from the Princess Qwillia—lavender-skinned she was and busty, with two of her four eyes what Barnes called ‘bedroom eyes’—and marveled at how on her planet, Chlamydia-5, these snacks were called ‘Hi-Dee-Hoes’ but on Earth they were simply called Ritz Crackers with Velveeta.»
Pour une liste de tous les gagnants... http://www.bulwer-lytton.com/2011.htm
Le New York Times a publié une liste de ce que certains auteurs connus mangent ou boivent lorsqu'ils écrivent. Le défi, lorsqu'on mange en écrivant, c'est d'arrêter. De manger, bien sûr...
Un phénomène intéressant est apparu en force avec les livres électroniques. Ce n'est pas qu'il n'existait pas avec les livres papier, mais c'est beaucoup plus facile maintenant de prendre le livre d'un autre, de changer un peu le titre et le contenu puis de le republier sous le nom d'un autre auteur. Un peu comme des cornichons vendus sous une marque maison d'épicerie : le contenu vient du même endroit, mais l'étiquette change. Une bonne façon pour certains de se faire de l'argent, mais une multiplication de livres pas toujours utiles... Plus.
Bibliothèques du monde
Pour les amateurs de bibliothèques et de Dr. Who, une citation de la saison 4 (je ne compte pas les vieilles) que j'aime bien!Lien

Une nouvelle au sujet de la bibliothèque de Umm Seqeim, à Dubaï, qui est devennue la première bibliothèque numérique du Moyen Orient. Une des options proposée est celle de l'auto-apprentissage en ligne, très populaire auprès des usagers.
Ce texte n'est pas en lien avec une bibliothèque, il présente une machine automatique qui vend des e-books. Honnêtement, je pensais que l'un des avantages des e-books était justement de pouvoir les acheter à distance...

Une nouvelle au sujet de la bibliothèque de Umm Seqeim, à Dubaï, qui est devennue la première bibliothèque numérique du Moyen Orient. Une des options proposée est celle de l'auto-apprentissage en ligne, très populaire auprès des usagers.
Ce texte n'est pas en lien avec une bibliothèque, il présente une machine automatique qui vend des e-books. Honnêtement, je pensais que l'un des avantages des e-books était justement de pouvoir les acheter à distance...
Les nouvelles de Google sont toujours intéressantes.
En 2006, des sites de nouvelles ont reproché à Google News d'avoir indexé leurs articles sans leur avoir demandé leur accord. Suite à une bataille juridique, le géant américain a accepté de désindexer les articles du service Googles News, mais il a, en même temps, retiré les sites de son moteur de recherche, ce qui, visiblement, peut avoir un impact important pour les compagnies. Finalement, Google a fait savoir qu'il indexerait à nouveau les sites. Neutre, Google? Mh... Plus...
Deux articles (Wired, Search Engine Journal)sur le sujet : il semblerait qu'il n'existe pas vraiment d'"effet Google". En fait, l'apparition des moteurs de recherche ne diminuerait pas la capacité mémorielle des jeunes générations. Ce serait un phénomène qui a toujours existé et qui vise à ne pas retenir ce que l'on sait pouvoir trouver ailleurs, que ce soit par le biais d'Internet ou par le biais d'autres personnes.
Enfin, Google s'est entendu avec Hachette pour avoir le droit de scanner les livres de la maison d'édition qui sont épuisés. Plus...
En 2006, des sites de nouvelles ont reproché à Google News d'avoir indexé leurs articles sans leur avoir demandé leur accord. Suite à une bataille juridique, le géant américain a accepté de désindexer les articles du service Googles News, mais il a, en même temps, retiré les sites de son moteur de recherche, ce qui, visiblement, peut avoir un impact important pour les compagnies. Finalement, Google a fait savoir qu'il indexerait à nouveau les sites. Neutre, Google? Mh... Plus...
Deux articles (Wired, Search Engine Journal)sur le sujet : il semblerait qu'il n'existe pas vraiment d'"effet Google". En fait, l'apparition des moteurs de recherche ne diminuerait pas la capacité mémorielle des jeunes générations. Ce serait un phénomène qui a toujours existé et qui vise à ne pas retenir ce que l'on sait pouvoir trouver ailleurs, que ce soit par le biais d'Internet ou par le biais d'autres personnes.
Enfin, Google s'est entendu avec Hachette pour avoir le droit de scanner les livres de la maison d'édition qui sont épuisés. Plus...
mercredi 27 juillet 2011
Bibliothèques
L'Institute of Museum and Library Services (IMLS) a réalisé une recherche qui rejette certains mythes qui perdurent sur les utilisateurs des ordinateurs dans les bibliothèques publiques américaines.
Mythe: Les ordinateurs de bibliothèque ne sont utiles qu'à une faible partie de la population.
Fait: Le tiers des Américains ont utilisé un ordinateur de bibliothèque en 2009. L'âge et l'éducation de la population en générale se reflètent dans les utilisateurs : il y a autant des jeunes que des vieux, des riches et des pauvres, des diplômés et d'autres qui ne le sont pas.
Mythe: Les gens qui utilisent les ordinateurs de bibliothèque sont moins susceptibles d'avoir accès à des ordinateurs et à Internet à la maison.
Fait: La majorité des gens qui ont utilisé les ordinateurs des bibliothèques (86%) affirment avoir un accès régulier à un ordinateur et à Internet à la maison. Par contre, ceux qui n'ont pas d'accès sont des utilisateurs plus fréquents, la majorité (65%) s'en servt au moins une fois par semaine.
Pour ceux qui n'en ont pas entendu parler, c'est un peu la guerre à Toronto où le maire a proposé de privatiser les bibliothèques (une suggestion parmi d'autres pour éponger le déficit de la ville). Margaret Artwood s'est mobilisée contre cette idée. C'est alors que Doug Ford, conseiller municipal et le frère du maire, a déclaré qu'il ne voyait aucun problème à fermer une des bibliothèques de sa circonscription et qu'il ne reconnaîtrait pas Mme Artwood s'il la croisait dans la rue. Depuis, ils se renvoient la balle. Voici un article, mais il y en a des tas à ce sujet... La question n'est toujours pas réglée.
Une autre bonne idée de la bibliothèque publique de New York : tous les enfants qui ont une amende sur leur compte (ils sont 143 000) peuvent la rembourser en lecture! Pour chaque 1$ d'amande, ils doivent aller lire durant 15 minutes. Plus...
Mythe: Les ordinateurs de bibliothèque ne sont utiles qu'à une faible partie de la population.
Fait: Le tiers des Américains ont utilisé un ordinateur de bibliothèque en 2009. L'âge et l'éducation de la population en générale se reflètent dans les utilisateurs : il y a autant des jeunes que des vieux, des riches et des pauvres, des diplômés et d'autres qui ne le sont pas.
Mythe: Les gens qui utilisent les ordinateurs de bibliothèque sont moins susceptibles d'avoir accès à des ordinateurs et à Internet à la maison.
Fait: La majorité des gens qui ont utilisé les ordinateurs des bibliothèques (86%) affirment avoir un accès régulier à un ordinateur et à Internet à la maison. Par contre, ceux qui n'ont pas d'accès sont des utilisateurs plus fréquents, la majorité (65%) s'en servt au moins une fois par semaine.
Pour ceux qui n'en ont pas entendu parler, c'est un peu la guerre à Toronto où le maire a proposé de privatiser les bibliothèques (une suggestion parmi d'autres pour éponger le déficit de la ville). Margaret Artwood s'est mobilisée contre cette idée. C'est alors que Doug Ford, conseiller municipal et le frère du maire, a déclaré qu'il ne voyait aucun problème à fermer une des bibliothèques de sa circonscription et qu'il ne reconnaîtrait pas Mme Artwood s'il la croisait dans la rue. Depuis, ils se renvoient la balle. Voici un article, mais il y en a des tas à ce sujet... La question n'est toujours pas réglée.
Une autre bonne idée de la bibliothèque publique de New York : tous les enfants qui ont une amende sur leur compte (ils sont 143 000) peuvent la rembourser en lecture! Pour chaque 1$ d'amande, ils doivent aller lire durant 15 minutes. Plus...
mardi 26 juillet 2011
Bibliothèques du futur?

Connaissez-vous le projet Uni? Il s'agit d'une salle de lecture portable qui s'installe à l'extérieur. L'une d'elles sera lancée à New York à l'automne 2011. Le couple formé de Sam Davol et de Leslie Davol està l'origine du projet qui a commencé au Chinatown de Boston. L'idée est intéressante. [L'image provient du Flikr de Uniproject]
Encore un autre texte cute sur l'utilité des bibliothèques. Il explique que les bibliothèques devraient exister peut importe le support de l'information, car leur but est de fournir gratuitement une information organisée sans biais idéologique. Les bibliothèques sont une source de loisirs qui ne prétendent pas que tout le monde est intéressé par l'acquisition sans fin de biens de consommation. Une bibliothèque ne vend rien à ses usagers (quoique certaines firmes de marketing seraient en désaccord avec cette affirmation).
Pour poursuivre sur le sujet de l'obsolescence des bibliothèques, la New York Public Librarie, malgré ses coupes budgétaires et son personnel réduit., travaille fort pour rester pertinente. Elle s'est défini une nouvelle identité dans ce monde numérique où elle s'est positionnée comme un réseau social qui utilise parfois bien mieux le pouvoir de l'Internet que certains médias. Les projets qu'elle développe suivent les tendances et elle accepte de changer pour suivre les besoins de ses usagers et ne pas être perçue comme obsolète. Plus...
Pour les intéressés, l'ALA a publié un document qui donne des conseils sur ce que devraient être les bibliothèques du futur.
Une autre bibliothèque sans livre : la Library Learning Terracer à l'Université Drexel à Philadelphie. Elle propose des accès à ses ressources électroniques et des espaces qui peuvent se transformer selon les besoins des usagers. Voici ce qu'en a dit Danuta Nitecki, la doyenne des bibliothèques de Drexel's libraries : "We don't just house books, we house learning". Plus...
samedi 23 juillet 2011
Librairies
Nig Beale a créé le site Literary Tourist qui propose une liste des librairies (autant des livres neufs que d'occasion), des lieux incontournables de la littérature et des festivals. " L'idée était de créer un outil de voyage pour les personnes qui aiment les livres. " souligne Beale à l'Ottawa Citizen.
Une série de 10 librairies originales comme la Beijing bookstore, conçue pour Poplar, le plus gros éditeur japonais de livres pour enfants. Voilà qui fait le bonheur des plus jeunes!

Une série de 10 librairies originales comme la Beijing bookstore, conçue pour Poplar, le plus gros éditeur japonais de livres pour enfants. Voilà qui fait le bonheur des plus jeunes!
Divers
Une robe de papier journal. Je ne sais pas si elle jaunit au soleil... Plus...
Il est utile que les bibliothèques offrent des périodes sans amendes... surtout pour quelqu'un qui ramène un livre de Darwin en retard de 122 ans et qui vaut maintenant 35 000$! Plus...
Des oeuvres de Kylie Stillman, gravée dans des livres. Plus...
Voici une liste des cinq livres anglophones les plus volés. Dans les trois premières positions :
- N'importe quoi de Charles Bukowski
- N'importe quoi de William S. Burroughs
- On the Road de Jack Kerouac
Une parodie des publicités de Mastercard version WikiLeaks.
Pour finir, Gollanz a annoncé la mise en ligne de SF Gateway, une e- bibliothèque de titres accessibles en ligne, entièrement consacrée à la SF et la Fantasy. Le but est de diffuser les grands classiques ainsi que des auteurs devenus difficiles à trouver sur papier. En plus d'une bibliothèque, le site offrira une plateforme de réseau social, des blogues, des forums ainsi que l'accès gratuit à la troisième édition de l'Encyclopédie de la Science-fiction. Je suis bien curieuse de voir le résultat!

Il est utile que les bibliothèques offrent des périodes sans amendes... surtout pour quelqu'un qui ramène un livre de Darwin en retard de 122 ans et qui vaut maintenant 35 000$! Plus...
Des oeuvres de Kylie Stillman, gravée dans des livres. Plus...

Voici une liste des cinq livres anglophones les plus volés. Dans les trois premières positions :
- N'importe quoi de Charles Bukowski
- N'importe quoi de William S. Burroughs
- On the Road de Jack Kerouac
Une parodie des publicités de Mastercard version WikiLeaks.
Pour finir, Gollanz a annoncé la mise en ligne de SF Gateway, une e- bibliothèque de titres accessibles en ligne, entièrement consacrée à la SF et la Fantasy. Le but est de diffuser les grands classiques ainsi que des auteurs devenus difficiles à trouver sur papier. En plus d'une bibliothèque, le site offrira une plateforme de réseau social, des blogues, des forums ainsi que l'accès gratuit à la troisième édition de l'Encyclopédie de la Science-fiction. Je suis bien curieuse de voir le résultat!
Piratage
Nouvelle qui m'énerve parce que je refuse de plaindre les grandes compagnies de cinéma ou de musique : les principaux fournisseurs Internet aux États-Unis ont accepté de suivre une approche systématique pour identifier les consommateurs suspectés de violer le copyright. Une fois ceux-ci repérés, ils seront avertis puis punis. Comme si ça allait enrayer le piratage...
Du côté de la France, il semblerait que 27% des e-books lus proviendrait de sites pirates. Peut-être que si c'était facilement possible d'emprunter des livres numériques à la bibliothèque, ce ne serait pas nécessaire de les pirater? Plus...
Du côté de la France, il semblerait que 27% des e-books lus proviendrait de sites pirates. Peut-être que si c'était facilement possible d'emprunter des livres numériques à la bibliothèque, ce ne serait pas nécessaire de les pirater? Plus...
mardi 19 juillet 2011
Lecture
En France, une enquête a été réalisée auprès de 5000 enfants de 11 ans à qui l'ont a posé des question à tous les 2 ans, jusqu'à l'âge de 17 ans, afin de voir comment évoluait leur relation à la lecture. À 11 ans, le tiers des enfants affirmaient lire des livres tous les jours. À 17 ans, le ratio chutait à moins de 10% et ce sont surtout les filles originaires d'un milieu favorisé qui continuaient à lire. Plus...
Un mélange de services que l'on voit rarement : dans le comté de Kitsap, certains médecins, lors d'un examen médical de routine, recommande aux jeunes de fréquenter la bibliothèque en donnant aux familles une brochure à ce sujet et un coupon échangeable contre un livre gratuit. Plus... Un livre par jour pour être en forme pour toujours?
Un blogue qui s'intéresse aux lecteurs de matériel digital : qui sont-ils et que font-ils? Pour ce qui touche la consommation de médias, 51% des lecteurs préfèrent les sites internet, 31% les éditions électroniques et 17% les applications. Internet, de par ses nouvelles gratuites et souvent à jour, domine clairement. À quel moment s'informent les gens par le biais de la technologie? Principalement le matin (36%) et le soir, après le travail.
Nouvelle un peu déprimante : le niveau de lecture en Europe est plutôt décevant. Une étude a permis de déterminer qu'en Europe, 20 % des jeunes de 15 ans avaient un bas niveau de lecture. Parmi les meilleurs pays on retrouve la Finlande, à 8% et parmi les pires la Bulgaruie, avec 33%.
Umberto Eco a l'intention de publier à nouveau son classique Nom de la rose version simplifiée pour le rendre plus accessible à tous. Personnellement, je l'ai bien aimé comme il est actuellement... Plus.
Qu'est-ce que l'ère du numérique a changé dans les habitudes de lecture? Selon cet article, il est maintenant plus simple et plus rapide de se procurer des livres électroniques; il est possible de lire partout et en tout temps; il est plus facile de partager ses idées et ses suggestions de lecture.
Dans le même ordre d'idées, un article qui explore l'influence de l'Internet sur la lecture. Est-ce que le fait de lire sur écran au lieu d'utiliser la lecture a modifié la façon de lire des jeunes générations?
Un mélange de services que l'on voit rarement : dans le comté de Kitsap, certains médecins, lors d'un examen médical de routine, recommande aux jeunes de fréquenter la bibliothèque en donnant aux familles une brochure à ce sujet et un coupon échangeable contre un livre gratuit. Plus... Un livre par jour pour être en forme pour toujours?
Un blogue qui s'intéresse aux lecteurs de matériel digital : qui sont-ils et que font-ils? Pour ce qui touche la consommation de médias, 51% des lecteurs préfèrent les sites internet, 31% les éditions électroniques et 17% les applications. Internet, de par ses nouvelles gratuites et souvent à jour, domine clairement. À quel moment s'informent les gens par le biais de la technologie? Principalement le matin (36%) et le soir, après le travail.
Nouvelle un peu déprimante : le niveau de lecture en Europe est plutôt décevant. Une étude a permis de déterminer qu'en Europe, 20 % des jeunes de 15 ans avaient un bas niveau de lecture. Parmi les meilleurs pays on retrouve la Finlande, à 8% et parmi les pires la Bulgaruie, avec 33%.
Umberto Eco a l'intention de publier à nouveau son classique Nom de la rose version simplifiée pour le rendre plus accessible à tous. Personnellement, je l'ai bien aimé comme il est actuellement... Plus.
Qu'est-ce que l'ère du numérique a changé dans les habitudes de lecture? Selon cet article, il est maintenant plus simple et plus rapide de se procurer des livres électroniques; il est possible de lire partout et en tout temps; il est plus facile de partager ses idées et ses suggestions de lecture.
Dans le même ordre d'idées, un article qui explore l'influence de l'Internet sur la lecture. Est-ce que le fait de lire sur écran au lieu d'utiliser la lecture a modifié la façon de lire des jeunes générations?
Archives
Voici une autre ressource de la Library of Congress qui donne des trucs sur comment prévoir la gestion du patrimoine numérique et du patrimoine en ligne après sa mort.
YTTM est un site qui permet d'écouter au hasard des émissions de télévision de 1860 à ce jour. C'est un peu n'importe quoi, car le but avoué est de permettre aux gens de faire des retours dans le temps et de se remémorer une année particulière par le biais de ses émissions.
Une étude, dont les données sont contestées, démontre que 35 à 90% des pages web ont été archivées au moins une fois. Ce serait une bonne chose si c'était vrai, mais aujourd'hui, qui est capable de quantifier le Web? Alors de là à quantifier ce qui est archivé... Plus.
YTTM est un site qui permet d'écouter au hasard des émissions de télévision de 1860 à ce jour. C'est un peu n'importe quoi, car le but avoué est de permettre aux gens de faire des retours dans le temps et de se remémorer une année particulière par le biais de ses émissions.
Une étude, dont les données sont contestées, démontre que 35 à 90% des pages web ont été archivées au moins une fois. Ce serait une bonne chose si c'était vrai, mais aujourd'hui, qui est capable de quantifier le Web? Alors de là à quantifier ce qui est archivé... Plus.
L'éducation à l'ère du numérique
En Corée, le ministère de l'Éducation investi dans les manuels scolaires électroniques. Le but est de permettre aux étudiants d'étudier en utilisant un contenu meilleur et plus interactif partout et n'importe quand. Plus...
Un blogue présente une comparaison entre ce que sont les anciens manuels scolaires et ce que devraient être les nouveaux manuels. Voici trois des points.
Anciens : Sont manufacturés.
Nouveaux : Seront créés en collectivité et continueront d'évoluer avec les utilisateurs.
Anciens : Sont durables par leur résistance au changement.
Nouveaux : Seront durables par leur flexibilité et leur facilité d'adaptation.
Anciens : Visibles.
Nouveaux : Ils vont refléter le monde par les yeux d'une communauté en apprentissage, ils vont grandir et se déplacer d'un endroit à l'autre.
Le Research Information Network britannique a publié un rapport sur la valeur apportée par les bibliothèques universitaires britanniques à la recherche et aux chercheurs. L’ADBU en a fait une traduction en français.
Deux articles sur le même sujet, un de l'Actua Litté, l'autre de Paperblog . Amazon a anonncé qu'il lancerait Kindle Textbooks Rental, un service de location de manuels scolaires qui permettrait aux étudiants de faire des économises. Les notes prises dans le livre seraient même conservées dans un nuage après la fin de la location. Trop beau pour être vrai? Tout dépend si les manuels dont ont besoin les étudiants sont vraiment disponibles. Il ne faut pas non plus oublier qu'il est parfois pratique de conserver un manuel scolaire au-delà de la période scolaire. Il faudra voir ce que vaut ce service...
Un blogue présente une comparaison entre ce que sont les anciens manuels scolaires et ce que devraient être les nouveaux manuels. Voici trois des points.
Anciens : Sont manufacturés.
Nouveaux : Seront créés en collectivité et continueront d'évoluer avec les utilisateurs.
Anciens : Sont durables par leur résistance au changement.
Nouveaux : Seront durables par leur flexibilité et leur facilité d'adaptation.
Anciens : Visibles.
Nouveaux : Ils vont refléter le monde par les yeux d'une communauté en apprentissage, ils vont grandir et se déplacer d'un endroit à l'autre.
Le Research Information Network britannique a publié un rapport sur la valeur apportée par les bibliothèques universitaires britanniques à la recherche et aux chercheurs. L’ADBU en a fait une traduction en français.
Deux articles sur le même sujet, un de l'Actua Litté, l'autre de Paperblog . Amazon a anonncé qu'il lancerait Kindle Textbooks Rental, un service de location de manuels scolaires qui permettrait aux étudiants de faire des économises. Les notes prises dans le livre seraient même conservées dans un nuage après la fin de la location. Trop beau pour être vrai? Tout dépend si les manuels dont ont besoin les étudiants sont vraiment disponibles. Il ne faut pas non plus oublier qu'il est parfois pratique de conserver un manuel scolaire au-delà de la période scolaire. Il faudra voir ce que vaut ce service...
lundi 11 juillet 2011
Livres papier
En voyant un site sur le sujet, je pensais un peu que c'était une blague...
Je le pense encore. Si ça n'en est pas une, alors je suis perplexe.
Voici un projet qui propose aux gens d'envoyer des images des inscriptions trouvées dans les livres, quelles qu'elles soient. Ce peut donc être des souhaits de bonne fête d'un inconnu à un autre.
Je le pense encore. Si ça n'en est pas une, alors je suis perplexe.
Voici un projet qui propose aux gens d'envoyer des images des inscriptions trouvées dans les livres, quelles qu'elles soient. Ce peut donc être des souhaits de bonne fête d'un inconnu à un autre.
Internet
Un texte au sujet d'un projet du gouvernement français qui propose que certaines autorités aient le pouvoir de « mettre en demeure l'éditeur d'un site, l'hébergeur ou le cas échéant les fournisseurs d'accès internet, de faire cesser toute "activité" comportant à leurs yeux un "risque sérieux et grave d’atteinte à l’ordre public. » sans passer préalablement devant un juge. Inquiétant.
Article très intéressant qui s'intéresse au parallèle entre la gratuité de tout avoir sur internet et le prix que coûte le service. Le coût de la technologie augmente sans cesse et les façons d'éviter de payer disparaissent. La fracture entre ceux qui ont accès au savoir par le biais de la technologie et ceux qui n'y ont pas accès est donc en train d'augmenter. Particulièrement dans les pays riches. Et c'est dans ce contexte que les bibliothèques sont fermées puisqu'elles ne sont plus considérées comme étant pertinentes.
J'adore ce site! Honnêtement, je ne pensais pas que des pieuvres pouvaient vivre dans les arbres!
Pour comprendre le contexte, lisez l'article très pertinent du Scientific American au sujet de l'information disponible sur le Web.
Article très intéressant qui s'intéresse au parallèle entre la gratuité de tout avoir sur internet et le prix que coûte le service. Le coût de la technologie augmente sans cesse et les façons d'éviter de payer disparaissent. La fracture entre ceux qui ont accès au savoir par le biais de la technologie et ceux qui n'y ont pas accès est donc en train d'augmenter. Particulièrement dans les pays riches. Et c'est dans ce contexte que les bibliothèques sont fermées puisqu'elles ne sont plus considérées comme étant pertinentes.
J'adore ce site! Honnêtement, je ne pensais pas que des pieuvres pouvaient vivre dans les arbres!
Pour comprendre le contexte, lisez l'article très pertinent du Scientific American au sujet de l'information disponible sur le Web.
jeudi 7 juillet 2011
Médias sociaux
Pour commencer, un infographique gracieuseté de Ignite Social Media, mais je vais plutôt donner le lien vers un blogue où il est possible de le voir plus gros. 
Un premier vidéo qui traite de la révolution des médias sociaux.
Au sujet de Google+ : une des caractéristiques qui est intéressantes, c'est qu'il est possible avec l'outil Google Takeout, d'exporter ses contacts, photos et autres informations dans d'autres médias sociaux, ce que Facebook refuse depuis toujours de faire. Plus...
Voici un lien vers des guides, conçus par un directeur d'école pour aider ceux qui ne connaissent rien au domaine d'appréhender Facebook.
Pour finir, une autre vidéo sur le même sujet.

Un premier vidéo qui traite de la révolution des médias sociaux.
Au sujet de Google+ : une des caractéristiques qui est intéressantes, c'est qu'il est possible avec l'outil Google Takeout, d'exporter ses contacts, photos et autres informations dans d'autres médias sociaux, ce que Facebook refuse depuis toujours de faire. Plus...
Voici un lien vers des guides, conçus par un directeur d'école pour aider ceux qui ne connaissent rien au domaine d'appréhender Facebook.
Pour finir, une autre vidéo sur le même sujet.
mardi 5 juillet 2011
Prêt d'e-books
Récemment, Amazon annonçait qu'il allait travailler avec Overdrive dans le but de prêter des livres Kindle aux usagers. Enlever les DRM à ce format... trop beau pour être vrai? Est-ce que les nouveautés et les bestsellers feront aussi partie du lot? On peut toujours espérer. Article du New York Times à ce sujet.
Du côté du NOOK, Baker & Taylor et Barnes & Noble ont annoncé qu'ils feraient la promotion des livres électroniques disponibles dans les bibliothèques et qu'ils essaieraient de rendre l'emprunt le plus simple possible. Plus...
Enfin, 3M essaie de se lancer également dans le prêt de documents électronique en sortant ses propres lecteurs numériques (3M eReaders) et des stations tactiles (3M Discovery Terminal)qui permettront aux usagers de bouquiner parmi les titres proposés et de les télécharger sur place. Il reste à savoir ce que les liseuses 3M seront capables de supporter... Plus...
Du côté du NOOK, Baker & Taylor et Barnes & Noble ont annoncé qu'ils feraient la promotion des livres électroniques disponibles dans les bibliothèques et qu'ils essaieraient de rendre l'emprunt le plus simple possible. Plus...
Enfin, 3M essaie de se lancer également dans le prêt de documents électronique en sortant ses propres lecteurs numériques (3M eReaders) et des stations tactiles (3M Discovery Terminal)qui permettront aux usagers de bouquiner parmi les titres proposés et de les télécharger sur place. Il reste à savoir ce que les liseuses 3M seront capables de supporter... Plus...
Écriture
Voici une page qui recense des auteurs qui insultent d'autres auteurs. En voici trois. Je préfère ne pas traduire.
-Friedrich Nietzsche au sujet de Dante Alighieri : “A hyena that wrote poetry on tombs.”
- Harold Bloom au sujet de J.K. Rowling (2000) : “How to read ‘Harry Potter and the Sorcerer’s Stone’? Why, very quickly, to begin with, and perhaps also to make an end. Why read it? Presumably, if you cannot be persuaded to read anything better, Rowling will have to do.”
- Vladimir Nabokov au sujet de Fyodor Dostoevsky : “Dostoevky’s lack of taste, his monotonous dealings with persons suffering with pre-Freudian complexes, the way he has of wallowing in the tragic misadventures of human dignity — all this is difficult to admire.”
L'écriture version 2.0 : les auteurs qui participent au site Unbound y lancent des idées des romans et les lecteurs qui aiment ces idées peuvent aider à faire publier ces livres. Voici encore l'idée de ne publier que ce qui intéresse les lecteurs. Selon moi, donner son avis sur une idée de livre peut ne pas rendre justice à de nombreux romans...
De romans qui ne sont pas publiés, voici un site de nouvelles qui ne sont pas terminées. Le but est d'y déposer des nouvelles incomplètes et que les gens donnent leur avis sur ce qui cloche.
Pour terminer, le résultat d'un sondage chez 500 Américains de 13 à 21 ans. 71 % affirment préférer texter que d'appeler. Un infographique fait l'an dernier montrait que les texteurs les plus importants étaient les filles de 14 à 17 ans qui envoyaient en moyenne 100 textos en une journée.

-Friedrich Nietzsche au sujet de Dante Alighieri : “A hyena that wrote poetry on tombs.”
- Harold Bloom au sujet de J.K. Rowling (2000) : “How to read ‘Harry Potter and the Sorcerer’s Stone’? Why, very quickly, to begin with, and perhaps also to make an end. Why read it? Presumably, if you cannot be persuaded to read anything better, Rowling will have to do.”
- Vladimir Nabokov au sujet de Fyodor Dostoevsky : “Dostoevky’s lack of taste, his monotonous dealings with persons suffering with pre-Freudian complexes, the way he has of wallowing in the tragic misadventures of human dignity — all this is difficult to admire.”
L'écriture version 2.0 : les auteurs qui participent au site Unbound y lancent des idées des romans et les lecteurs qui aiment ces idées peuvent aider à faire publier ces livres. Voici encore l'idée de ne publier que ce qui intéresse les lecteurs. Selon moi, donner son avis sur une idée de livre peut ne pas rendre justice à de nombreux romans...
De romans qui ne sont pas publiés, voici un site de nouvelles qui ne sont pas terminées. Le but est d'y déposer des nouvelles incomplètes et que les gens donnent leur avis sur ce qui cloche.
Pour terminer, le résultat d'un sondage chez 500 Américains de 13 à 21 ans. 71 % affirment préférer texter que d'appeler. Un infographique fait l'an dernier montrait que les texteurs les plus importants étaient les filles de 14 à 17 ans qui envoyaient en moyenne 100 textos en une journée.

La British Library a annoncé qu'elle mettrait en ligne quelque 250 000 livres libres de droits de son fond avec l'aide de Google. Les frais de numérisation seront assumés par Google puis les livres seront disponibles sur le site de la bibliothèque (www.bl.uk) et sur Google Books. Plus...
Une autre bonne nouvelle, les documents offerts par les bibliothèques européennes à Google Books se retrouveront probablement dans Europeana. Bonne nouvelle puisque généralement, les contrats entre Google et les bibliothèques empêchent ces dernières de partager leurs fichiers avec d'autres. Elles peuvent les diffuser elles-mêmes, mais non les intégrer à une autre banque de livres gratuits. Google reste une compagnie avec des visées lucratives, il ne faut surtout jamais oublier que sa vision n'est pas celle des bibliothèques.
En restant sur le sujet de Google Books, voici un texte très comique sur les erreurs d'indexation de Google Books (qui expliquent que pas mal de gens enragent à chercher quoi que ce soit dans cette base de données). Par exemple, saviez-vous que plus de 500 livres sur Internet ont été écrits avant 1950, que Hamlet traite d’antiquités et d’objets de collection et que Madame Bovary est un roman de Henry James?
Un peu aride, mais une présentation sur l'évolution des moyens qu'utilise Google pour donner des résultats de recherche. La compagnie ne révèle pas d'où elle tire son algorithme de pertinence, mais il est possible de déduire certaines choses et c'est intéressant de voir que ce qui est pris en compte change avec le temps.
Google a lancé un nouveau site appelé What do you love? En y faisant une recherche, des résultats de tous les produits Google apparaissent. C'est un peu effrayant. Il nous propose même de lancer un blogue sur le sujet recherché...
Enfin, pour clore le sujet Google, trouvé sur le blogue de Phil Bradley :
Les bibliothécaires sont là pour : aider, enseigner, s'enthousiasmer. Pour cataloguer, indexer, organiser, organiser. Pour trouver, découvrir, promouvoir, afficher. Pour intéresser, intriguer, amuser et étonner. Pour aider les enfants, les adultes, les personnes âgées, les démunis, les riches, les pauvres. Pour protéger les ressources, les archiver, les stocker, les sauvegarder pour l'avenir. Pour fournir des points de vue divergents, promouvoir la réflexion, la conversation, la recherche, l'amusement. Pour fournir la meilleure réponse possible, pour fournir juste assez d'informations sans surcharger l'utilisateur. Pour améliorer une communauté locale, une entreprise, une école, un collège, une organisation, un pays, la planète.
Google est là : pour faire de l'argent.
Une autre bonne nouvelle, les documents offerts par les bibliothèques européennes à Google Books se retrouveront probablement dans Europeana. Bonne nouvelle puisque généralement, les contrats entre Google et les bibliothèques empêchent ces dernières de partager leurs fichiers avec d'autres. Elles peuvent les diffuser elles-mêmes, mais non les intégrer à une autre banque de livres gratuits. Google reste une compagnie avec des visées lucratives, il ne faut surtout jamais oublier que sa vision n'est pas celle des bibliothèques.
En restant sur le sujet de Google Books, voici un texte très comique sur les erreurs d'indexation de Google Books (qui expliquent que pas mal de gens enragent à chercher quoi que ce soit dans cette base de données). Par exemple, saviez-vous que plus de 500 livres sur Internet ont été écrits avant 1950, que Hamlet traite d’antiquités et d’objets de collection et que Madame Bovary est un roman de Henry James?
Un peu aride, mais une présentation sur l'évolution des moyens qu'utilise Google pour donner des résultats de recherche. La compagnie ne révèle pas d'où elle tire son algorithme de pertinence, mais il est possible de déduire certaines choses et c'est intéressant de voir que ce qui est pris en compte change avec le temps.
Google a lancé un nouveau site appelé What do you love? En y faisant une recherche, des résultats de tous les produits Google apparaissent. C'est un peu effrayant. Il nous propose même de lancer un blogue sur le sujet recherché...
Enfin, pour clore le sujet Google, trouvé sur le blogue de Phil Bradley :
Les bibliothécaires sont là pour : aider, enseigner, s'enthousiasmer. Pour cataloguer, indexer, organiser, organiser. Pour trouver, découvrir, promouvoir, afficher. Pour intéresser, intriguer, amuser et étonner. Pour aider les enfants, les adultes, les personnes âgées, les démunis, les riches, les pauvres. Pour protéger les ressources, les archiver, les stocker, les sauvegarder pour l'avenir. Pour fournir des points de vue divergents, promouvoir la réflexion, la conversation, la recherche, l'amusement. Pour fournir la meilleure réponse possible, pour fournir juste assez d'informations sans surcharger l'utilisateur. Pour améliorer une communauté locale, une entreprise, une école, un collège, une organisation, un pays, la planète.
Google est là : pour faire de l'argent.
lundi 4 juillet 2011
Bibliothèques mobiles
Voici l'histoire fascinante de Sunder Rajan, un programmeur de Bangalore (en Inde)qui a lancé une chaîne de bibliothèques, Just Book, en commençant par en ouvrir une toute petite à côté de chez lui.
Restons dans l'international. Au Caire, près de 200 taxis ont rejoint l'initiative “Taxi of Knowledge” lancée par les librairies Alef en avril dernier. Le but est d'inciter les Égyptiens à lire davantage. Les usagers du taxi peuvent donc feuilleter n'importe lequel des livres installés derrière le siège du conducteur. Plus...
Pour ceux qui ne connaissent pas cette activité des bibliothèques de Montréal, voici une courte présentation de "Livres dans la rue". Le but est toujours d'apporter les livres aux lecteurs et de ne pas attendre que ceux-ci viennent à la bibliothèque. Lien.
Une autre histoire de livres dans la rue : Laura Moulton, qui se définit comme une bibliothécaire de la rue, a lancé un projet de bibliothèque mobile (à bicyclette) qui propose des livres aux personnes sans domicile. Elle ne s'attend pas à avoir 100% de retour, mais ce n'est pas non plus le but ultime.
Restons dans l'international. Au Caire, près de 200 taxis ont rejoint l'initiative “Taxi of Knowledge” lancée par les librairies Alef en avril dernier. Le but est d'inciter les Égyptiens à lire davantage. Les usagers du taxi peuvent donc feuilleter n'importe lequel des livres installés derrière le siège du conducteur. Plus...
Pour ceux qui ne connaissent pas cette activité des bibliothèques de Montréal, voici une courte présentation de "Livres dans la rue". Le but est toujours d'apporter les livres aux lecteurs et de ne pas attendre que ceux-ci viennent à la bibliothèque. Lien.
Une autre histoire de livres dans la rue : Laura Moulton, qui se définit comme une bibliothécaire de la rue, a lancé un projet de bibliothèque mobile (à bicyclette) qui propose des livres aux personnes sans domicile. Elle ne s'attend pas à avoir 100% de retour, mais ce n'est pas non plus le but ultime.
Architecture

Un architecte japonais a conçu une maison avec des bibliothèques. Partout! Il ne reste qu'à les remplir! Plus...
Voici une série d'articles qui s'intéresse aux bibliothèques à travers leur environnement. Le premier traite de l'évolution de l'architecture des bibliothèques au XXe et XXIe siècle ; le deuxième aborde les relations entre les bibliothèques du passé et les contemporaines d'un angle de la production du savoir ; le troisième regarde la meta fonction de la bibliothèque et ses futurs possibles.
mercredi 29 juin 2011
L'éducation à l'heure du numérique
Les bibliothèques de l'Université de Californie ont publié les résultats d'un sondage portant sur les e-books effectué en octobre 2010. Voici quelques faits saillants. Plus...
■ Lorsque les étudiants ont été interrogés sur leur usage des e-books dans leur parcours académique, 58% ont indiqué qu'ils en utilisent ; 38% n'en utilisent pas et 4 % n'étaient pas certains.
■ 49% des répondants ont indiqués qu'ils préféraient les livres imprimés, 34% les e-books et 17% n'avaient aucune préférence.
■ La capacité de chercher dans les e-books et au-delà est identifiée comme l'avantage premier des e-book, peu importe que le répondant préfère les e-books ou les imprimés.
■ La possibilité de télécharger un e-book entier dans une liseuse pour le lire plus tard est une option considérée comme très importante. Les répondants ont exprimé de la frustration lorsqu'ils sont restreints dans leur téléchargement ou dans leurs possibilités d'impression.
■ 41% des répondants ont indiqué que l'option "impression d'une copie sur demande" est un service important.
Petit panneau explicatif sur comment Internet a révolutionné l'éducation. Il faut souligner que nous sommes probablement qu'aux débuts de cette révolution.

Trouvé via: OnlineEducation.net
■ Lorsque les étudiants ont été interrogés sur leur usage des e-books dans leur parcours académique, 58% ont indiqué qu'ils en utilisent ; 38% n'en utilisent pas et 4 % n'étaient pas certains.
■ 49% des répondants ont indiqués qu'ils préféraient les livres imprimés, 34% les e-books et 17% n'avaient aucune préférence.
■ La capacité de chercher dans les e-books et au-delà est identifiée comme l'avantage premier des e-book, peu importe que le répondant préfère les e-books ou les imprimés.
■ La possibilité de télécharger un e-book entier dans une liseuse pour le lire plus tard est une option considérée comme très importante. Les répondants ont exprimé de la frustration lorsqu'ils sont restreints dans leur téléchargement ou dans leurs possibilités d'impression.
■ 41% des répondants ont indiqué que l'option "impression d'une copie sur demande" est un service important.
Petit panneau explicatif sur comment Internet a révolutionné l'éducation. Il faut souligner que nous sommes probablement qu'aux débuts de cette révolution.

Trouvé via: OnlineEducation.net
Divers
Je sais pas trop comment qualifier cette vidéo : odeur? Livre? Lecture? À vous de juger
Les photos de l'avenir, si on en croit certaines personnes. Bonjour Harry Potter!
Restons dans les photos, voici d'impressionnantes photos du Japon, 3 mois après le tremblement de terre
De l'art avec des clous. Le photographe tchèque Vlad Artazov raconte des histoires en utilisant des clous et de la lumière. Plus...

Vu que je connais un grand nombre d'introvertis, je rajoute le résumé d'un livre de Carl King, 10 Myths About Introverts, que je trouve pertinent. Bon, l'auteur va peut-être un peu loin, mais n'empêche, il serait parfois utile de réveiller certains extravertis sur la réalité des intros. Voici le résumé des trois premiers mythes.
Mythe #1 – Les introvertis n'aiment pas parler.
En fait, les introvertis ne parlent pas lorsqu'ils n'ont rien à dire. Ils n'aiment pas le small talk. Par contre, ils aiment bien parler de ce qui les intéresse!
Mythe #2 – Les introvertis sont timides.
Un introverti n'est pas nécessairement timide, mais il a besoin d'une raison pour interagir avec les autres. Il ne discute pas seulement pour parler de choses et d'autres.
Mythe #3 – Les introvertis sont rudes.
Les introvertis ne voient pas de raisons de tourner autour du pot. Ils veulent que les gens soient vrais et honnêtes sans s'encombrer de boniments. Ils sentent souvent beaucoup de pression extérieure pour se conformer à la façon de faire des extra.
Suite...
Les photos de l'avenir, si on en croit certaines personnes. Bonjour Harry Potter!
Restons dans les photos, voici d'impressionnantes photos du Japon, 3 mois après le tremblement de terre
De l'art avec des clous. Le photographe tchèque Vlad Artazov raconte des histoires en utilisant des clous et de la lumière. Plus...

Vu que je connais un grand nombre d'introvertis, je rajoute le résumé d'un livre de Carl King, 10 Myths About Introverts, que je trouve pertinent. Bon, l'auteur va peut-être un peu loin, mais n'empêche, il serait parfois utile de réveiller certains extravertis sur la réalité des intros. Voici le résumé des trois premiers mythes.
Mythe #1 – Les introvertis n'aiment pas parler.
En fait, les introvertis ne parlent pas lorsqu'ils n'ont rien à dire. Ils n'aiment pas le small talk. Par contre, ils aiment bien parler de ce qui les intéresse!
Mythe #2 – Les introvertis sont timides.
Un introverti n'est pas nécessairement timide, mais il a besoin d'une raison pour interagir avec les autres. Il ne discute pas seulement pour parler de choses et d'autres.
Mythe #3 – Les introvertis sont rudes.
Les introvertis ne voient pas de raisons de tourner autour du pot. Ils veulent que les gens soient vrais et honnêtes sans s'encombrer de boniments. Ils sentent souvent beaucoup de pression extérieure pour se conformer à la façon de faire des extra.
Suite...
Archives
Comme vous le savez probablement, la Library of Congress archive Twitter. Ce texte explique les défis que posent de telles archives. Il n'y a pas que le nombre hallucinant de twits et leurs métadonnées qu'il faut prendre en compte, mais aussi toute la question de l'indexation pour qu'il soit possible de faire une recherche dans le contenu. Le défi est immense!
Une autre idée que j'aime bien : le jeu des métadonnées. Il y a un grand nombre d'institutions qui possèdent des photographies d'archives qui pourraient être mises en ligne, mais qui ne le sont pas, car il n'y a aucune description qui leur est associée. Il n'est donc pas possible de les trouver en effectuant une recherche. Une équipe du Dartmouth College, en collaboration avec des archivistes, a créé une interface de jeu qui invite les joueurs à associer un mot ou une série de mots à une image. Un joueur peut jouer seul ou avec un partenaire (ordinateur ou humain). Cette méthode n'a pas la prétention de suivre des règles strictes d'archivistique, mais pourquoi pas? Plus...
Une autre idée que j'aime bien : le jeu des métadonnées. Il y a un grand nombre d'institutions qui possèdent des photographies d'archives qui pourraient être mises en ligne, mais qui ne le sont pas, car il n'y a aucune description qui leur est associée. Il n'est donc pas possible de les trouver en effectuant une recherche. Une équipe du Dartmouth College, en collaboration avec des archivistes, a créé une interface de jeu qui invite les joueurs à associer un mot ou une série de mots à une image. Un joueur peut jouer seul ou avec un partenaire (ordinateur ou humain). Cette méthode n'a pas la prétention de suivre des règles strictes d'archivistique, mais pourquoi pas? Plus...
Copyright
Les joies du copyright se multiplient : voici un texte au sujet d'universités qui ne partagent pas en ligne leurs ressources (qui ont pourtant une grande valeur pour la recherche) par peur d'être poursuivies, car il y a de nombreuses oeuvres orphelines parmi elles. Réussir à faire la part des choses dans les questions de copyright et d'utilisation équitable est souvent un enfer!
J'avais mentionné il y a quelque temps une poursuite de trois éditeurs contre la Georgia State University... He bien, la deuxième des trois accusations (qui portent toutes sur la notion d'utilisation équitable) a été rejetée par la juge. Il n'en reste qu'une qui devra être défendue par les éditeurs, mais pour l'instant, le verdict est rassurant... Plus...
J'avais mentionné il y a quelque temps une poursuite de trois éditeurs contre la Georgia State University... He bien, la deuxième des trois accusations (qui portent toutes sur la notion d'utilisation équitable) a été rejetée par la juge. Il n'en reste qu'une qui devra être défendue par les éditeurs, mais pour l'instant, le verdict est rassurant... Plus...
lundi 13 juin 2011
Journaux locaux
The Newspaper Map permet de visiter le site de centaines de journaux locaux à travers le monde. Intéressant même si clairement incomplet si je me base aux titres répertoriés au Québec.
Livres pour adolescents
Voici une histoire qui a fait bien jaser : une plainte de quelqu'un qui trouve que les romans pour adolescents d'aujourd'hui sont beaucoup trop noirs et offrent peu de choix d'histoires positives.
Une auteure a répondu à cette plainte qu'elle trouve exagérée.
Les romans pour adolescents abordent peut-être des thèmes qui n'étaient pas abordés auparavant, mais sérieusement, ce n'est pas eux qui les inventent. C'est le monde contemporain qui apporte ces thèmes. Les livres ne sont pas plus inappropriés qu'Internet ou que les émissions de télévision. Bien sûr, toute histoire n'est pas bonne à lire pour n'importe qui, mais c'est pour ça qu'il existe des adultes. À chaque public ses livres.
Une auteure a répondu à cette plainte qu'elle trouve exagérée.
Les romans pour adolescents abordent peut-être des thèmes qui n'étaient pas abordés auparavant, mais sérieusement, ce n'est pas eux qui les inventent. C'est le monde contemporain qui apporte ces thèmes. Les livres ne sont pas plus inappropriés qu'Internet ou que les émissions de télévision. Bien sûr, toute histoire n'est pas bonne à lire pour n'importe qui, mais c'est pour ça qu'il existe des adultes. À chaque public ses livres.
Internet : un droit, un choix
60 secondes sur Internet. Par Shanghai Web Designers. Source.

Les Nations Unies ont déclaré que l'accès à Internet était un des droits fondamentaux de l'Homme. Donc bloquer l'accès au Web est une violation de la loi internationale. Et n'allez pas croire que cette loi ne concerne que les pays dictatoriaux, plusieurs exemples très près de nous sont donnés dans l'article de Wired.
Wired a également publié un texte sur la ponctuation dans les messages textes. Je ne pense pas que tous les conseils peuvent se transposer en français, mais certaines personnes ici aussi ont bien du mal à utiliser la ponctuation dans leurs textos...
La fracture numérique pourrait-elle se révéler également granulaire? C'est une idée qui circule : alors qu'il y a de plus en plus d'aspects de notre culture qui sont numériques, il y a de plus en plus de possibilités d'être à la traîne. Plus la technologie sous-entendra que l'état naturel des gens est d'être toujours branché, plus ceux qui ne veulent pas l'être ou qui ne peuvent pas se le permettre sauteront de bulle numérique en bulle numérique au lieu de marcher sur une ligne droite. Est-ce que ces personnes pourront être en mesure de fonctionner au même niveau que les autres? Aucune idée, mais personnellement, l'idée d'être toujours branché ne m'attire pas du tout.Plus.

Les Nations Unies ont déclaré que l'accès à Internet était un des droits fondamentaux de l'Homme. Donc bloquer l'accès au Web est une violation de la loi internationale. Et n'allez pas croire que cette loi ne concerne que les pays dictatoriaux, plusieurs exemples très près de nous sont donnés dans l'article de Wired.
Wired a également publié un texte sur la ponctuation dans les messages textes. Je ne pense pas que tous les conseils peuvent se transposer en français, mais certaines personnes ici aussi ont bien du mal à utiliser la ponctuation dans leurs textos...
La fracture numérique pourrait-elle se révéler également granulaire? C'est une idée qui circule : alors qu'il y a de plus en plus d'aspects de notre culture qui sont numériques, il y a de plus en plus de possibilités d'être à la traîne. Plus la technologie sous-entendra que l'état naturel des gens est d'être toujours branché, plus ceux qui ne veulent pas l'être ou qui ne peuvent pas se le permettre sauteront de bulle numérique en bulle numérique au lieu de marcher sur une ligne droite. Est-ce que ces personnes pourront être en mesure de fonctionner au même niveau que les autres? Aucune idée, mais personnellement, l'idée d'être toujours branché ne m'attire pas du tout.Plus.
Livres numériques
Texte vraiment intéressant de John C Abell qui donne 5 raisons pourquoi les livres numériques ne peuvent pas encore remplacer les livres papiers. Il explique chacune de ses raisons avec des arguments que plusieurs personnes se plaisent à contredire dans les commentaires :
1) Il est plus simple de voir qu'un livre est en cours de lecture qu'un e-book. Il est facile d'oublier combien de e-book sont commencés un peu partout sur différentes plateformes.
2) Tous les livres ne peuvent être gardés à la même place. Encore là, selon les éditeurs, ce n'est pas possible de TOUT lire avec une seule machine.
3) Les notes dans les marges aident à penser [personnellement, je crois que nous aurons bientôt la possibilité d'écrire dans les marges des e-book].
4) Les e-book sont présentés comme des documents qui ne sont pas là pour être conservés, mais le prix suggère le contraire.
5) Impossible de décorer une pièce avec des livres numériques.
Un article du New York Times aborde une situation qui se produit également au Québec : les manuels scolaires prennent du temps à prendre le virage numérique, principalement parce que les éditeurs pensent perdre de l'argent en modifiant leurs façons de faire. Au lieu de vendre de nombreuses copies chaque année, ils n'en vendraient qu'une seule. Bref, ils cherchent un modèle économique qui leur permettrait de continuer à faire des profits. Ils sont un peu moins pressés par le temps vu le manque de compétition, mais tôt ou tard, ils n'auront pas le choix de se mettre au goût du jour...
Voici un projet qui vise à distribuer des liseuses dans des pays en voie de développement. Un peu comme les initiatives d'ordinateurs portables abordables. Je suis un peu perplexe. Ce n'est pas une mauvaise chose, mais ils n'ont probablement pas accès à beaucoup de titres récents et envoyer 100 livres dans une liseuse n'est pas l'équivalent d'envoyer 100 livres papiers. Enfin, il vaut la peine de se pencher sur la question. Plus...
1) Il est plus simple de voir qu'un livre est en cours de lecture qu'un e-book. Il est facile d'oublier combien de e-book sont commencés un peu partout sur différentes plateformes.
2) Tous les livres ne peuvent être gardés à la même place. Encore là, selon les éditeurs, ce n'est pas possible de TOUT lire avec une seule machine.
3) Les notes dans les marges aident à penser [personnellement, je crois que nous aurons bientôt la possibilité d'écrire dans les marges des e-book].
4) Les e-book sont présentés comme des documents qui ne sont pas là pour être conservés, mais le prix suggère le contraire.
5) Impossible de décorer une pièce avec des livres numériques.
Un article du New York Times aborde une situation qui se produit également au Québec : les manuels scolaires prennent du temps à prendre le virage numérique, principalement parce que les éditeurs pensent perdre de l'argent en modifiant leurs façons de faire. Au lieu de vendre de nombreuses copies chaque année, ils n'en vendraient qu'une seule. Bref, ils cherchent un modèle économique qui leur permettrait de continuer à faire des profits. Ils sont un peu moins pressés par le temps vu le manque de compétition, mais tôt ou tard, ils n'auront pas le choix de se mettre au goût du jour...
Voici un projet qui vise à distribuer des liseuses dans des pays en voie de développement. Un peu comme les initiatives d'ordinateurs portables abordables. Je suis un peu perplexe. Ce n'est pas une mauvaise chose, mais ils n'ont probablement pas accès à beaucoup de titres récents et envoyer 100 livres dans une liseuse n'est pas l'équivalent d'envoyer 100 livres papiers. Enfin, il vaut la peine de se pencher sur la question. Plus...
mercredi 8 juin 2011
Belles librairies
Après avoir présenté de nombreuses listes de belles bibliothèques, en voici une de librairies qui sont belles ou intéressantes. Je n'arrive pas à mettre d'images alors vous devrez aller voir la liste pour avoir une idée.
mardi 7 juin 2011
Abus de technologie?

Un texte parle d'une étude menée sur 500 étudiants américains du niveau "collège". 73 % affirment qu'ils ne sont pas capables d'étudier sans une forme ou une autre de technologie et 38 % disent qu'ils ne peuvent pas passer plus de dix minutes sans regarder leur ordinateur, téléphone ou tablette. Par ailleurs, 70 % d'entre eux prennent des notes numériques et 91% favorise la communication électronique pour s'adresser à leurs enseignants.
Digital Life: Today & Tomorrow from Neo Labels on Vimeo.
Un autre sondage sur l'effet des nouvelles technologies démontre que 7 % des gens regardent leurs courriels ou utilisent des applications 10 fois par heure alors qu'ils sont censés faire quelque chose d'autre. Comparativement à des sondages précédents, les attitudes obséssionnelles augmentent. Beaucoup (29 %) indiquent aussi que la technologie interfère avec leurs relations interpersonnelles. De plus en plus de personnes sont incapables de décrocher, où est-ce que ça va s'arrêter?
lundi 6 juin 2011
Livres
Les bibliothèques de l'Université de l'Alabama et de l'université du Wisconsin-Madison ont développé une ressource électronique qui permet d'étudier jusqu'à 5000 reliures décoratives. C'est vraiment de son temps, l'étude des reliures par le biais du Web...
Voici un texte très intéressant de Michael Levin, un écrivain connu. Il traite de la disparition des livres et place la faute principalement sur les éditeurs. En résumé, il explique que le modèle courant de publication est de sortir une foule de livres et d'espérer que quelques-uns rapportent de l'argent. Dans un monde où le bouquinage disparait (les livres achetés sur un coup de coeur sont moins nombreux), où il est devenu facile de contourner les éditeurs pour publier, où presque tout se trouve gratuitement sur le web, la technique actuelle des éditeurs, qui consiste à copier le modèle des livres papier, est vouée à l'échec. Pourtant, ce n'est pas la raison principale de la mort des livres évoquée par M. Levin. En fait, il reproche aux éditeurs d'attendre qu'on leur soumette des propositions et de publier des livres qui n'intéressent personne. Rendu là, je ne suis pas vraiment d'accord avec ce texte, car je ne pense pas qu'il est possible de savoir ce que les gens veulent vraiment et je ne pense pas que seuls des livres populaires devraient être publiés, mais c'est un point de vue différent à considérer.
Le New York Times présente les couvertures de livres qui n'ont pas été retenues, mais qui sont assez remarquables pour être présentées.
Encore un artiste qui fait de l'art fait avec des livres, Mike Stilkey. J'aime bien le résultat. Plus...

Après le parfum de bibliothèque, voici le parfum de livre! Pour ceux qui s'ennuient de l'odeur des livres papier, ils peuvent parfumer leurs liseuses avec des odeurs de livre neuf ou même de livres empruntés plusieurs fois! Pour davantage d'information, visiter le site Smell of Books, ça vaut la peine!
Voici un texte très intéressant de Michael Levin, un écrivain connu. Il traite de la disparition des livres et place la faute principalement sur les éditeurs. En résumé, il explique que le modèle courant de publication est de sortir une foule de livres et d'espérer que quelques-uns rapportent de l'argent. Dans un monde où le bouquinage disparait (les livres achetés sur un coup de coeur sont moins nombreux), où il est devenu facile de contourner les éditeurs pour publier, où presque tout se trouve gratuitement sur le web, la technique actuelle des éditeurs, qui consiste à copier le modèle des livres papier, est vouée à l'échec. Pourtant, ce n'est pas la raison principale de la mort des livres évoquée par M. Levin. En fait, il reproche aux éditeurs d'attendre qu'on leur soumette des propositions et de publier des livres qui n'intéressent personne. Rendu là, je ne suis pas vraiment d'accord avec ce texte, car je ne pense pas qu'il est possible de savoir ce que les gens veulent vraiment et je ne pense pas que seuls des livres populaires devraient être publiés, mais c'est un point de vue différent à considérer.
Le New York Times présente les couvertures de livres qui n'ont pas été retenues, mais qui sont assez remarquables pour être présentées.
Encore un artiste qui fait de l'art fait avec des livres, Mike Stilkey. J'aime bien le résultat. Plus...

Après le parfum de bibliothèque, voici le parfum de livre! Pour ceux qui s'ennuient de l'odeur des livres papier, ils peuvent parfumer leurs liseuses avec des odeurs de livre neuf ou même de livres empruntés plusieurs fois! Pour davantage d'information, visiter le site Smell of Books, ça vaut la peine!

Divers
Mes nouvelles sont en retard, je sais. Le 25 mai est officiellement le jour de la serviette pour honorer l'auteur Douglas Adams (1952-2001). Pour ceux qui l'ignorent, il a écrit The Hitch Hiker's Guide to the Galaxy. En ce jour de célébration, les fans se baladent fièrement avec des serviettes. Plus...

De l'art avec de petites personnes. Un artiste de la région de Seattle, Christopher Boffoli, s'amuse à mettre en contexte de la nourriture dans un monde miniature. Plus...

Un peu moins joyeux, une liste de personnes ordinaires qui sont devenues célèbres lorsqu'elles sont apparues dans des photographies qui ont fait le tour du monde. Ce qui est intéressant, c'est de savoir ce qu'elles sont devenues aujourd'hui.
Pour finir, quelque chose que je ne sais simplement pas où mettre : Richard Dreyfuss qui lit de façon dramatique les accords de licence des utilisateurs et les conditions de service d'Apple. Comment rendre un texte particulièrement rébarbatif intéressant? Il faut demander à Richard Dreyfuss!

De l'art avec de petites personnes. Un artiste de la région de Seattle, Christopher Boffoli, s'amuse à mettre en contexte de la nourriture dans un monde miniature. Plus...

Un peu moins joyeux, une liste de personnes ordinaires qui sont devenues célèbres lorsqu'elles sont apparues dans des photographies qui ont fait le tour du monde. Ce qui est intéressant, c'est de savoir ce qu'elles sont devenues aujourd'hui.
Pour finir, quelque chose que je ne sais simplement pas où mettre : Richard Dreyfuss qui lit de façon dramatique les accords de licence des utilisateurs et les conditions de service d'Apple. Comment rendre un texte particulièrement rébarbatif intéressant? Il faut demander à Richard Dreyfuss!
Language
Voici une idée qui mériterait d'être reproduite : DARE, the Dictionary of American Regional English, un dictionnaire qui indique où sont utilisés les mots listés. Par exemple, les termes hero, hoagie, grinder, sub, torpedo, Cuban, etc. sont tous utilisés pour désigner la même sorte de sandwich selon de l'endroit où il est commandé! Il est certain qu'en français, nous utilisons également certains termes différemment selon les régions!
Médias sociaux
Ces temps-ci, il y a un tas de chartes qui circulent avec des graphiques sur les médias sociaux. En voici un en lien avec la démographie. Source.

Storify est un site qui permet de raconter une histoire en utilisant Twitter et des photographies. En fait, c'est une espèce d'hybride entre le blogue et Twitter. Ceux qui l'utilisent l'aiment beaucoup.
Un blogue présente une réflexion sur une question qui, pour moi, est essentielle : est-ce que Twitter est une perte de temps? Bien entendu, la vérité se situe probablement entre le oui et le non.

Storify est un site qui permet de raconter une histoire en utilisant Twitter et des photographies. En fait, c'est une espèce d'hybride entre le blogue et Twitter. Ceux qui l'utilisent l'aiment beaucoup.
Un blogue présente une réflexion sur une question qui, pour moi, est essentielle : est-ce que Twitter est une perte de temps? Bien entendu, la vérité se situe probablement entre le oui et le non.
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