Voici une publicité sur le piratage qui m'énerve. Pas à cause qu'elle n'est pas bonne, mais à cause que ceux qui sont principalement affectés par le piratage, ce sont les grosses compagnies qui n'ont pas besoin du prétexte du piratage pour s'exiler dans un autre pays et payer un perchiste étranger beaucoup moins cher qu'un perchiste américain. Actuellement, le salaire de la plupart des travailleurs du cinéma est régi par une convention collective. Pour qu'un perchiste perde son emploi à cause du piratage, il faudrait que toutes les compagnies qui les engagent fassent faillite. Nous ne sommes pas rendus là.
Cette publicité a beau me tomber sur les nerfs, il n'en reste pas moins que le piratage est illégal. C'est ce que vont apprendre 23 000 personnes qui ont téléchargé illégalement le film the Expendables. C'est la plus grosse poursuite du genre aux États-Unis. Auparavant, c'était surtout les films douteux (du style Nude nuns with big guns) qui intentaient des poursuites de ce genre(pour se faire de l'argent.) Plus...
Pas vraiment du piratage, mais presque considéré comme tel. Trois maisons d'édition, Sage, Cambridge, et Oxford University Press, veulent faire modifier ce qui est considéré comme un usage raisonnable de leurs publications. Ils ont intenté une poursuite pour s'assurer que les universités empêchent les facultés, les étudiants et le personnel de créer, reproduire, transmettre, vendre et distribuer de quelques manières que ce soit leurs documents sans permission. Cela signifie : plus de photocopies permises et plus de distribution facile d'un recueil de texte à lire pour un cours. Bref, l'horreur. Voici un article intéressant à ce sujet.
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