Google et le Mal

Une idée que j'aime bien : un blogue sur l'art de Google Books, résultats d'erreurs de numérisation. Un exemple avec “‘Pardanashin’ (woman in purdah) masquée par les néons ou un effet venant du numériseur". Soumis par andrewgoldstone.

Lala Ishwari Prasad’s “The Pardanashin,” in The Modern Review (Calcutta), vol. 4, no. 6 (December, 1908). Rpt. in The Modern Review, vol. 4, nos. 5–6 (Calcutta: Prabasi Press, n.d.): 446. Original from the University of California, Berkeley. Digitized February 4, 2010.

Ceux qui utilisent les services de Google ont vu passer dernièrement une indication sur la mise en commun des diverses politiques régissant les services de la compagnie. La plupart du temps, les gens n'ont pas lu les nouvelles conditions d'utilisation. Cela permet en gros à Google de nous connaître intimement puisque de mettre en commun les informations cherchées sur le moteur de recherche, les courriels envoyés par Gmail, les sites visités avec Chrome, les images annotées avec Picasa et j'en passe, notre vie numérique devient une bonne image de notre vie réelle. Le but officiel est de simplifier la vie des utilisateurs et de leur présenter une publicité vraiment ciblée, mais les risques d'aller trop loin sont réellement présents. Et si une annonce nous disait : "votre employé, Richard, est présentement dans le bureau de votre compétiteur. Désirez-vous lui souhaiter bonne chance?" Google n'est pas l'incarnation du Mal, mais c'est une compagnie et son but est, et sera toujours, de faire de l'argent. Le .texte d'Ira Winkler à ce sujet, intitué "Is Google evil? The jury is out" est vraiment intéressant.