Premièrement, un article propose quatre visions d'avenir pour les bibliothèques de recherche. La première suggère que l'institution fournisse le support aux chercheurs les plus brillants au lieu de diriger l'agenda de recherche. La deuxième propose un service de support qui apporte des informations variées, mais de peu de valeur pour être en mesure de réutiliser ce qui existe déjà. Dans la troisième possibilité, les disciplines décident des recherches à effectuer et s'alignent sur les importantes capacités électroniques. La quatrième présente un monde dominé par l'Asie et le Moyen-Orient.
Plus près de nous, un texte fait valoir que les étudiants aiment toujours les livres papier malgré l'arrivée de l'électronique, ce qui va rassurer beaucoup d'employés des bibliothèques. Je ne crois pas que les livres vont disparaître dans les universités, mais il ne faut pas non plus s'y accrocher bec et ongles. Il y a beaucoup d'avantages aux bibliothèques électroniques, il faut seulement ne pas oublier qu'elles ont également des défauts.
Pour finir, un essai sur la démocratisation d'internet, comme quoi nous ne sommes pas tous égaux, peu importe les prétentions du Web.
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