On pourrait croire que les parents friands de la technologie vont éduquer rapidement leurs enfants aux joies de la lecture sur écran. Eh bien, selon un article du New York Times, il semblerait que plusieurs d'entre eux préfèrent que leurs enfants apprennent à lire avec de bons vieux livres papier.
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Sur le site de Wired, Clive Thompson explique sa vision de l'avenir des livres papier. Selon lui, ce qui va dominer, c'est principalement l'idée du livre à la demande. Ne faire imprimer que ce qui s'exploite mal sur écran, des livres faits sur mesure ou des éditions limitées. Les succès, pour leur part, ne seront plus sortis qu'en version numérique.
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Qu'était la vision de l'avenir des livres dans les histoires de science-fiction?
TOR.com en liste une série allant du classique Farenheit 451, à Star Trek à Dr. Who.
Dans le cadre d'un projet pilote, des milliers de titres numériques d'auteurs québécois seront disponibles pour les abonnés de la Bibliothèque et Archives nationales du Québec. En espérant que ce projet soit un succès et qu'il soit imité par d'autres bibliothèques!
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Le prêt de livres électroniques dans les bibliothèques publiques expliqué à ceux qui ne sont pas dans le milieu et qui se demandent pourquoi ce sujet n'avance pas plus rapidement. Par exemple, il y a la fameuse crainte des éditeurs qui pensent qu'à partir du moment où une bibliothèque prête un e-book, des gens vont le pirater et le rendre disponible gratuitement sur le Net. C'est probablement déjà le cas et ça n'a rien à voir avec les bibliothèques... Il y a également la fameuse question du format. Par exemple, les bibliothèques américaines sont nombreuses à utiliser OverDrive, un intermédiaire avec les éditeurs, mais il supporte EPUB, un format qui n'est pas lisible par les utilisateurs de Kindle, Amazon ayant plutôt choisi d'opérer avec un système propriétaire.
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Un autre texte du New York Times, toujours sur la confrontation entre les éditeurs et les bibliothèques. Il précise que les gros sont extrêmement frileux, mais ce n'est pas le cas avec les plus petites maisons d'édition qui se font parfois un plaisir de proposer leur catalogue aux bibliothèques. D'un autre côté, permettre de diffuser des auteurs moins connus est l'un des buts des bibliothèques alors voilà au moins un effet positif.
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Un autre bon
texte sur le même sujet : les maisons d'édition cherchent un modèle viable à suivre pour la vente aux bibliothèques. Des six grandes maisons d'édition, HarperCollins a mis sur pied l'idée de la limite de 26 prêts (qui a créé tout un tollé en mars l'an dernier). En novembre, Penguin s'est retiré d'OverDrive avant de changer d'avis. Pour leur part, Hachette, Simon & Schuster et Macmillan n'ont tout simplement aucune entente avec les bibliothèques. Mais il y a de l'espoir, car Random House a accepté de vendre des e-book aux bibliothèques. Plus cher, certes, mais sans limite de prêt et c'est au moins un pas en avant
Trouvé sur
i-librarian, cet infographique présente les divers typse de liseuses associées à leurs types de fichiers.
Finalement, une nouvelle
opinion au sujet des livres numériques "augmentés" avec des bruits et des fonctions interactives. Comme on peut s'en douter, cette "augmentation" créer surtout une distraction par rapport à l'histoire.